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Lovely-W-Music Quand un pingouin trouve son partenaire, ils restent ensemble pour toujours. Veux-tu être mon pingouin ?

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Création : 23/04/2011 à 05:34 Mise à jour : 31/07/2014 à 06:13

C'est ça qui compte, recommencer.


BLOG DE CITATIONS / EXTRAITS DE LIVRES.
Bonjour et bienvenue sur ma page littéraire.
+ Mes textes qui m'apaisent.

L'écriture, c'est le c½ur qui éclate en silence.

Ce blog est en vie depuis 2 ans. 2 belles années passées a vos cotés
Je voudrais remercier mes fans et toutes les personnes qui me suivent depuis le début.

Je me suis surprise à écrire afin de supporter la vie.

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Je me suis surprise à écrire afin de supporter la vie.
.
►PETIT SONDAGE : Décrivez votre premier amour en un seul mot.

Constructif -  Bonheur - Complicité - Douleur - Découverte - Sentiments  - Erreur -  Mensonges - Découverte -  Destructeur - Déception - Tristesse - Erreur  - Inoubliable - Bataille - Magique - Complicité - Douloureux - Inoubliable - Actuelle - Intense - Extraordinaire - Regret - Encore - Sacrifice - Interminable - Passer - Premier - Haine - Mignon - Révélation - Merveilleux - Bataille - Magique - Passion - Révélateur - Inutile - Exceptionnel - Éternel - Incontrôlable - Violent - Destruction - (le)Seul - Extraordinaire - Attente - Attendrissant - Horrible - Mémorable - Enfants - Connard - Échec - Éternel - Chaos - Toujours - Intense - Irréalisable - Fou - Magnifique - Désillusion - Force - Souffrance - Dies - Unique - Unique - Distance - Destructeur - Fierté - Beau -  Irremplaçable - Illusion - Entier -  Torturé -  Insouciant - Infini - Introuvable - Requiem - Superficiel - Incompréhensible - Douloureux - 
 
 

 

 ● Autres sondages - ici et ici et ici et ici : à vos claviers !
Ps : Pour tout les "visiteurs", je rappelle qu'il faut avoir un blog pour participer aux sondages !
Tags : Kery James, Cleo-Nikita Photography
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#Posté le lundi 18 juin 2012 13:21

Modifié le dimanche 26 janvier 2014 17:10

Je ne savais pas qu'on pouvait vivre, travailler, plaisanter et être malade de douleur. J'ignorais qu'on pouvait à la fois être détruit et concentré sur son travail, effondré et souriant, triste et disponible, nostalgique et amoureux.

Je ne savais pas qu'on pouvait vivre, travailler, plaisanter et être malade de douleur. J'ignorais qu'on pouvait à la fois être détruit et concentré sur son travail, effondré et souriant, triste et disponible, nostalgique et amoureux.
 
Au fond, je suis perdue. Cette vie m'épuise. Je sais plus du tout où j'en suis, plus du tout qui je suis, ce que je veux, rester, partir, changer, te voir, pas te voir, rire, pleurer. Je sais même plus ce que ces mots veulent dire. Au fond, la seule chose à laquelle je pense constamment et qui me bouffe, c'est toi. C'est ton petit sourire sur le coté quand t'étais gêné, c'est notre rencontre sur ces escaliers, cette rue, cette gare, ces initiales entremêlés. Et j'devrais pas, j'devrais pas penser à toi comme ça, j'devrais penser qu'a celui qui a pris ta place aujourd'hui. J'devrais plus être amoureuse de toi. Mais j'y arrive pas. J'arrive pas à me sortir ça de la tête, et je suis désolée d'être aussi faible. J'aurais voulu passer ma vie dans tes mots. J'aurais voulu m'y noyer. Ou alors ne jamais t'avoir connu. J'voudrais guérir. J'voudrais t'effacer. Mais j'ai bien compris que c'était impossible. J'ai bien compris qu'on guérissait jamais au fond, que le temps faisait rien à ça. J'ai bien compris qu'on devrait vivre toute notre vie avec ce souvenir au fond du coeur et en plein dans le bide, j'ai bien compris qu'on devra le porter, qu'on devra survivre à ça, quoi qu'il arrive. J'ai bien compris qu'on oublie jamais rien de ce qui nous a traversé. Ça reste en nous. Alors j'ai décidée de faire avec, de vivre avec toi et sans toi à la fois, d'aller devant chez toi, de marcher sur nos pas, puisque c'est tout ce qui nous reste. 
Tags : MOI MÊME., Brigitte Giraud
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#Posté le lundi 25 avril 2011 07:02

Modifié le jeudi 31 juillet 2014 06:13

On s'était dit des choses que l'on ne tiendra pas.

 On s'était dit des choses que l'on ne tiendra pas.

 

                                             C'est dure de publier ces quelques mots ici. 
                                             Parce-que publier ces mots, ça revient à te dire Adieu.
                                             Un vrai Adieu. Mais puisqu'il le faut, puisque c'est ainsi.
                                             Alors, voici mes mots :
 
           Au fond, c'est dans le silence que je te connais le mieux. Ce silence dans lequel tu m'as plongé. Ce silence dans lequel tu m'as enfermé. Sais-tu, ce que c'est que de vivre face à cette indifférence ? Sais tu la douleur que cela procure ? Parce-que même à des kilomètres, c'est le silence qui détruit tout tu sais ? C'est le silence qui fait mal. Tu nous as tués dans ce silence. Tu m'as noirci. J'ai noirci mes cheveux, mais en vain je crois que c'est mon c½ur que j'ai noirci. Fallait-il vraiment que les choses se passent ainsi ? Le silence est un choix et tu as su choisir ton camp. Tu as tout détruit autour de moi. T'en rend tu comptes ? Arrives tu à penser à autre chose qu'a toi même pour une fois ? Te rend tu comptes du mal que tu m'as fait ? Tu m'a tellement noirci, que j'en suis venue à me renfermer, à perdre tout les gens auxquels je tenais. Tu m'as tellement noirci, que je suis devenue méchante et froide avec celui que j'aime, tellement noirci que j'ai faillit le perdre, lui aussi. Cette noirceur détruit ma vie entière, à cause de toi. Et ça ne peut plus durer. Alors, a partir d'aujourd'hui, en cette date précise, qui ressasse des tas de souvenirs, en ce 9 avril où l'on aurait du fêter nos trois ans, heureux. Je te demande, et je te conjure de ne plus jamais m'envoyer un seul message. Et ici, je te fais mes adieux, car c'est ici le seul endroit que nous avons encore en commun aujourd'hui. A l'instant, je supprime ton numéro. Tu as choisi rappel toi. Je veux que tu t'en souviennes, je veux que dans 2 ans, quand tu retombes sur une de nos photos, tu t'en mordes les doigts. Parce-qu'on aurait pu devenir des gens bien tu sais, on aurait pu réussir à grandir. Tout ce que je demandais c'est qu'on garde un lien, qu'on puisse se souvenirs avec joie de notre passé. Mais, tu en a été incapable. Tu as préféré le silence et la fuite. Et je me fiche de savoir pourquoi. Aujourd'hui, nous nous serions aimés depuis trois ans. Mais ce silence nous as rouillé Yann, ce silence a noirci mon âme. Tu savais pourtant, à quel point l'indifférence me faisait mal, tu savais que c'était la pire des douleurs. Peut être que tu ne savais rien au fond. Peut être que tu ne sauras jamais rien. C'est fini Yann tu m'entends ? C'est fini. Tu ne joueras plus avec moi. Tu as eu le choix, et tu as choisi. Je prend mon envol, vers lui, vers le monde, vers les gens honnêtes. Je veux que cette noirceur disparaisse. Jamais plus mon c½ur ne flanchera devant toi. Jamais plus je n'essayerais de nous garder une amitié. N'essaye pas de te faire pardonner, car je sais qu'un beau jour tu vas revenir comme une fleur, comme tu fais à chaque fois. J'ai longtemps été faible face à toi Yann. C'est fini. Je supprimerais chaque messages qui m'arriveront, sans les ouvrir, ne te fatigue donc pas. Tu as eu le temps de changer les choses, tu as eu une année, puis des mois. Tu as eu le temps de me sauver, de nous sauver. Je ne vais pas mentir, ça va être douloureux au début, de te perdre ainsi, ça va être si douloureux que je risque de devenir une sorte d'épave. Mais, je préfère essayer de te survivre, que de me tuer à petit feu en essayant de nous sauver. Je préfère être sur la route de la guérison. Mord-toi les doigts aujourd'hui, et rate ta vie. Continu de foncer dans les gens, de les défaire, de les manipuler, continu d'être cet imbécile que tu deviens, continu d'apprivoiser ce monstre en toi. Tu n'es plus celui que j'avais connu, tu étais quelqu'un de bien Yann, j'aurais pris ta défense contre n'importe qui, j'aurais tout fait pour toi, pour t'aider. Mais aujourd'hui, le temps à fini par s'écouler. J'ai fini d'être la gentille, à t'attendre, à te pardonner. Enlève moi de tes pensée en roulant, enlève moi de tes souvenirs. Nous n'avons jamais rien été. Adieu.
 
Le 9 Avril 2014, A to Y.

Tags : MOI MÊME., Julien Doré.
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#Posté le dimanche 25 septembre 2011 17:52

Modifié le mardi 08 avril 2014 18:25

Faut pas m'laisser trainer là, seule avec ces idées là, j'suis pas si forte que tu crois, pas si forte que ça.

 
 
Faut pas m'laisser trainer là, seule avec ces idées là, j'suis pas si forte que tu crois, pas si forte que ça.Faut pas m'laisser trainer là, seule avec ces idées là, j'suis pas si forte que tu crois, pas si forte que ça.Faut pas m'laisser trainer là, seule avec ces idées là, j'suis pas si forte que tu crois, pas si forte que ça.
 
C'est fini, c'est pas fini, c'est re-fini, re-pas fini. Combien de temps encore ça va durer dit moi ? Combien de temps encore tu comptes jouer ainsi avec moi ? J'en ai marre, j'arrive à bout tu sais. J'arrive à un moment où je pleure et je ne sais même pas pourquoi. J'en ai marre d'attendre derrière toi, d'attendre derrières tes messages et tes mensonges. On ne pourrait pas juste.. grandir? On ne pourrait pas juste devenir des adultes normaux, avec des souvenirs, et sans se torturer l'esprit ? Pourquoi es-tu incapable de faire ça ? Pourquoi es tu incapable de répondre, incapable de franchise ? Dit moi. La personne que j'ai connu, il y a fort longtemps maintenant, était une bonne personne, une personne attentif, toujours là pour les autres, qui ne mentait pas, qui roulait pour être heureux. Qu'a tu fait du Yann qui était en toi? Tu m'as fait attendre plus d'un an, et tu t'es excusé. J'ai eu envie de croire en toi à nouveau tu sais, envie de te refaire confiance, envie de penser que tu ne recommencerais jamais. Mais j'ai eu si tort. Tu es devenu glacial, tu es devenu injuste. En fait, t'es juste un gros con, c'est ça ? Tu vas encore me dire que tu reçois pas les messages, que ton téléphone beug ? Tu m'as laissé volontairement y'a un an dans cet hôpital, et tu me laisse encore aujourd'hui. Parce-que t'es injuste, t'es un minable, t'es qu'un menteur, un vaurien, tu penses qu'a ta gueule. Jamais plus je te croirais tu m'entend ? Va lui sortir de la merde à elle, va illusionner les gens comme tu sais si bien le faire. J'suis tellement gentille de pas aller la voir tu sais, de pas aller lui ouvrir les yeux sur toi, sur le connard qu'elle croit comme quelqu'un de bien. Tu mérites d'être seul, délaissé, tu mérites qu'on te coupe les jambes et qu'tu puisses plus jamais faire de moto de ta vie. J'voudrais tellement te niquer ta vie là, comme ta niquer la mienne. Putain de pauvre type avec qui j'ai vécu, putain de pauvre type en qui je croyais. Putain ce que j'y croyais, même hier j'étais encore là à te défendre devant mon copain "c'est quelqu'un de bien, on sera amis encore des années, c'était important ce qu'on a vécu", putain ce que j'aurais du le croire quand il m'a répondu "Mais A, il se fou clairement de ta gueule ce gars, il répond pas, tu te fais des idées sur lui, c'est un connard". Barre-toi de ma vie. Je te deteste, mon dieu, tu sais même pas à quel point ça me fait mal, de te détester autant. Ça va te tuer à force, ce monstre en toi, ça va te tuer, ça va me tuer et ça va nous tuer. 
Tags : MOI MÊME., to Y, Titre : Bertignac
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#Posté le dimanche 19 juin 2011 04:45

Modifié le dimanche 23 mars 2014 16:14

Et à l'horizon.. on te verra briller dans les étoiles.

Et à l'horizon.. on te verra briller dans les étoiles.
 
" - L'enterrement est jeudi, a 15h. "
- L'enterrement de ?  
- L'enterrement de grand mamie Alice....Réveille toi."
 
Ah oui c'est vrai. Grand mamie nous a quitter. Grand mamie nous sourira plus jamais. Grand mamie sera plus jamais dans son petit appartement. Grand mamie nous attendra plus jamais sur son balcon en nous saluant de la main. Grand mamie nous enverra plus jamais de lettres pour nos anniversaires, et pour Noël. Grand mamie nous appellera plus jamais. Grand mamie n'aura plus jamais l'occasion de nous dire 'profiter de la vie les filles, ça passe tellement vite la vie..'. Grand mamie est partie, et on doit apprendre à vivre sans grand mamie. C'est vrai qu'on lui a jamais dit qu'on l'aimais, on lui a jamais dit tout ce qu'elle nous avait appris. On lui a jamais dit à quel point on avait de la chance d'avoir une grand mamie comme elle. Et c'est trop tard maintenant.. grand mamie est morte. C'est inconcevable. Non grand mamie ne peut pas mourir. Je vais la revoir cet été, grand mamie sera la, elle va nous regarder de son balcon et elle va nous sourire. Je pourrais encore prendre grand mamie dans mes bras. Je pourrais encore faire des photos avec elle, n'est-ce pas ? Dite-moi que ce n'est pas fini. Le monde ne peux pas continuer à tourner sans elle. Je ne sais pas comment vivre dans un monde où elle a cessé d'exister. La vie va être tellement.. vide...sans grand mamie. Elle était le rayon de soleil de notre vie. Elle était toujours là. On a toujours pu compter sur elle, nous tous. Et aujourd'hui, et demain, et tout les autres jours de notre vie, on ne pourra plus. Ça crève le c½ur. J'ai constamment l'impression que mon estomac est en train de se faire écrabouiller et que mon c½ur va exploser, et surtout.. j'ai l'impression que ça ne va jamais s'arrêter.  
Tags : MOI MÊME., Mouli
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#Posté le lundi 25 avril 2011 06:47

Modifié le dimanche 02 février 2014 10:00

Prends moi par la main, guide mon chemin.

 
Prends moi par la main, guide mon chemin.Prends moi par la main, guide mon chemin.Prends moi par la main, guide mon chemin.

 


Éperdument amoureuse contient le mot perdue. J'aurais du me douter, qu'il fallait être très courageuse pour être amoureuse. On parle toujours du chagrin de ceux qui perdent quelqu'un, de ceux qui se font briser le c½ur, de ceux qui sont seule. On en oublie, à tort, les aimés, les courageux, ceux qui s'aiment à contre sens, ceux qui souffrent de bonheur. On pense toujours qu'il suffit de perdre quelqu'un, pour avoir mal. Mais je n'ai rien perdue, je me suis perdue moi même. Savez-vous que ça fait mal d'être amoureuse ? Que la douleur provoque des sortes d'hallucinations, de la jalousie, de la possessivité, de la rage, de l'anxiété, de l'insomnie, et puis...des pleurs.. des tas et des tas de larmes, qui coulent pour un c½ur qui devrait être heureux. On oublie la douleur de l'attente d'un message, d'une réponse, d'un geste. On oublie à quel point on s'abandonne, et à quel point on se donne. On oublie à quel point on perd l'appétit quand l'autre n'est pas la, et qu'on arrive plus à se sentir heureux tout seul chez soi. On oublie que ça détruit le cerveau de penser constamment à quelqu'un. On oublie qu'on en demande toujours trop, qu'on a besoin d'attention, de mots doux, et que sans ça, on s'effondre. On oublie à quel point on a besoin d'être constamment rassuré, à quel point on est toujours sur les gardes d'un petit 'et si'.  On oublie qu'on prend énormément sur soi, qu'on à l'impression que si on perd l'autre un instant, on le perd pour toujours. Alors on oublie que en ayant peur de tout détruire, on fait constamment attention, à nos habits, nos fréquentations, nos mots, nos gestes.  On oublie la douleur éprouvée quand on est éloigné, une seule seconde de la personne qu'on aime. On oublie à quel point ça fait mal de vouloir être heureux. N'oubliez pas que chaque passion est destructrice. 
Tags : MOI MÊME.
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#Posté le mercredi 08 janvier 2014 15:21

Modifié le mercredi 08 janvier 2014 15:51

Adieu, mon amour.

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Il nous aura fallut du temps. Beaucoup de temps, pour, apprendre à passer à autre chose. C'était il y a si longtemps, que nos c½urs se sont serrés... J'aurais voulu te garder à jamais contre moi, et je me suis battue, un bon nombre de fois. Je t'aimais même quand tu me faisais souffrir, et bien plus encore, quand je te haïssais. Mais le temps a passé aujourd'hui. J'ai pensée qu'il fallait t'attendre, attendre derrière tes messages. Attendre pendant longtemps. Je me suis même mis à imaginer, que tu pouvais encore ne serait-ce qu'un peu, penser à moi, de temps en temps, juste comme ça. Mais le temps a passé.. Que c'est t-il passé pour que je ne m'en rende pas compte ? J'avais tout devant les yeux, je savais déjà tout ce que tu allais me dire, je n'avais rien à attendre de toi. Ça fait bien longtemps que c'est fini maintenant, et je crois, que je commence tout juste à le comprendre. Nous n'avons pas à rester amis, mais quel bêtise j'ai eu de vouloir nous garder, à ce point là. Nous n'avons pas à rester proche non plus, ni même en contact. Nos vies ensemble sont fini. On a tellement de choses à découvrir séparément, tellement d'amour à donné. J'ai voulu croire que tu étais celui qui avait changé ma vie. Mais c'est faux, tu n'étais que de passage, un passage que j'oublierais, avec le temps. Merci, merci de m'avoir fait vivre tout ça. Tu m'as réveillé d'entre les morts. 
Tags : MOI MÊME., to Y
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#Posté le jeudi 20 octobre 2011 17:37

Modifié le mercredi 25 décembre 2013 13:47

On a la gueule de nos souvenirs.

On a la gueule de nos souvenirs.

 

Je ne lui ai presque pas parlé de toi. Il connaît ton existence, bien entendu. Il sait le temps partagé, les amours chaotiques, la séparation. Je lui ai mentionné ton prénom, ta profession, ces choses à quoi on a recours pour définir les gens, pour les situer, mais guère plus. Je n'ai pas évoqué la violence des sentiments, ni celle de la rupture. Il ne m'a pas particulièrement questionnée, je n'ai pas eu à lui mentir. Je me tais pour ne pas l'effrayer. Je ne voudrais pas qu'il me considère comme une femme friable, vulnérable, ni comme une malade pas vraiment guérie et susceptible de rechuter. Je lui dissimule les entailles profondes que tu as laissées, aussi bien celles qui me font souffrir que celles qui racontent nos étreintes passées. Ainsi, il n'a pas à redouter que je me perde à nouveau. Je suis convaincue néanmoins qu'il a compris l'essentiel. S'il ne m'interroge presque pas, c'est parce qu'il dispose des réponses. Il ne mesure pas exactement l'ampleur des dégâts que tu as causés mais il la devine presque assurément lorsque, posant ses doigts sur ma peau, il épouse le creux de mes plaies.
Tags : Se résoudre aux adieux de Philippe Besson, Titre : Jenifer
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#Posté le dimanche 04 décembre 2011 13:49

Modifié le dimanche 08 décembre 2013 16:34

Mais dans leurs visages au fond je n'ai rien fait d'autre que te chercher.

Mais dans leurs visages au fond je n'ai rien fait d'autre que te chercher.

 

 Vous savez, quand on croit en quelque chose, mais qu'on y croit vraiment. Vous savez, quand on planifie sa vie avec quelqu'un, qu'on planifie ce qu'on fera pour nos 1 an, quels cadeaux on aura, qu'on planifie tout en détail, qu'on donne des noms aux enfants qu'on aura plus tard, qu'on parle de notre futur maison, du fait qu'on s'aimera encore et encore. Vous savez quand on croit en quelque chose comme ça, pendant très longtemps, que tout les matins on se réveille en se disant « un jour ça sera comme ça ». Vous savez quand c'est la première fois qu'on croit à quelque chose aussi fort, que c'est la première personne qui nous fait ressentir ça. Et qu'un jour.. bah un jour on nous remballe tout, on nous dit de tout oublier, de tout effacer. Quand un jour, on nous regarde dans les yeux et on nous dit de recommencer, recommencer à croire en quelque chose d'autre, une nouvelle vie, une nouvelle personne, quelqu'un de nouveau à aimer, d'autres projets à faire. Quand on nous dit de tout remballer, comme si ça avait pas existé, pas compté. Comment on fait hein ? Comment on est censé survivre à ça ? C'est vrai quoi, on a passé plus d'un an à y croire, coûte que coûte, à vivre que pour ça, et on doit oublier, remballer nos projets ? Tu sais moi, dans une semaine, c'est pas toi que je vais regarder dans les yeux, pour nos un an, c'est pas toi que je verrais, et c'est pas nos projets dans lequel je vais vivre. J'aimerais bien savoir ce que ça ferait si c'était toi à sa place aujourd'hui. Le fait, que dans une semaine, ce serait toi que je regarderais dans les yeux en disant «  ça fait un an mon amour ». Qu'est-ce-que ça ferait ? Si tout nos projets tenaient encore debout, qu'est-ce-que ça ferait ? J'croyais m'être débarrassé de tout ça. Mais tu vois, c'est pour ça que j'ai peur, c'est pour ça que ça m'effraie de me retrouver face à lui dans une semaine, de franchir le cap. Je veux être sure de vouloir passer ma vie avec lui tu vois, parce-qu'après, après, y'aura pas de possible retour en arrière. Après je vais devoir t'effacer, et t'effacer vraiment. Mais comment j'vais faire hein ?
Tags : joe dassin, MOI MÊME.
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#Posté le mercredi 25 mai 2011 09:42

Modifié le dimanche 10 novembre 2013 14:12

Ce qui fait le plus souffrir en amour, c'est la lâcheté.

 
Ce qui fait le plus souffrir en amour, c'est la lâcheté.
Mais là, et pour la première fois, j'ai eu mal, tellement mal. Un coup de poing dans le ventre, le souffle coupé, le c½ur en compote, l'estomac complètement écrabouillé. Une douleur physique insoutenable. Mais je n'ai pas hurlé. La douleur est toujours là mais elle ne m'empêche plus de marcher ou de parler, c'est une sensation d'impuissance. Alors c'est comme ça ?  Une vie pleine de projets, de discussions à peine commencées, de désirs même pas accomplis, s'éteint en une seconde et il n'y a plus rien, il n'y a plus rien à faire, on ne peut plus revenir en arrière ? Pour la première fois de ma vie, j'ai ressenti le sens du mot jamais. Eh bien, c'est terrible. On prononce ce mot cent fois par jour mais on ne sait pas ce qu'on dit avant d'avoir été confronté à un vrai "plus jamais". Finalement, on a toujours l'illusion qu'on contrôle ce qui arrive, rien ne nous semble définitif. Mais quand quelqu'un qu'on aime meurt... alors je peux vous dire qu'on ressent ce que ça veut dire et fait très très très mal. C'est comme un feu d'artifice qui s'éteint d'un coup et tout devient noir. Je me sens seule, malade, j'ai mal au c½ur et chaque mouvement me coûte des efforts colossaux.                                                                                                                 
Tags : Spencer Hastings, Muriel Barbery
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#Posté le lundi 05 septembre 2011 11:18

Modifié le dimanche 08 décembre 2013 16:47

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